lundi 2 juillet 2012

Un peu de lecture et de réflexion!

Cela fait longtemps que je n’avais pas eu envie de parler d’une lecture. Mes deux dernières ne m’ont pas vraiment convaincues… Mais là, en trois jours je me suis laissée embarquer par Laurent Gounelle et son premier roman, devenu best-seller « L’homme qui voulait être heureux ».
C’est une amie qui me l’a recommandé, j’avais tourné autour plusieurs fois, et là, n’ayant rien d’autre à lire, j’ai tenté. Au début, j’ai trouvé ça un peu « gros », voire simpliste.  On sait rapidement où l’auteur veut en venir et le message qu’il souhaite faire passer. Ses petites leçons de vie sont vite mises à nues. Mais, on se laisse prendre par l’histoire et finalement, même si ces apprentissages sont simples, cela ne fait pas de mal de les lire et de prendre le temps d’y réfléchir. De refermer le livre entre les chapitres et de se dire « et moi ? » ou bien « ah oui, en effet… ».

Je suis contente de cette lecture, j’y ai trouvé de la sérénité et quelques passages que je souhaite garder en mémoire et dont je vous fais part :

« Une vie réussie est une vie que l’on a menée conformément à ses souhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnant le meilleur de soi-même dans ce que l’on fait, en restant en harmonie avec qui l’on est , et si possible, une vie qui nous a donné l’occasion de nous dépasser, de nous consacrer à autre chose qu’à nous-mêmes et d’apporter quelque chose à l’humanité, même très humblement, même si c’est infime. Une petite plume d’oiseau confiée au vent. Un sourire pour les hommes. »

« Si ce que vous faites ne respecte pas vos valeurs, vous éprouverez une certaine gêne, un léger malaise, ou un sentiment de culpabilité. C’est un signe qui doit vous amener à vous demander si vos actions ne sont pas en contradiction avec ce qui est important pour vous.
On ne peut évoluer en tant qu’être humain, ni même simplement rester en bonne santé, quand on mène des actions qui violent nos valeurs. » (p. 136)

 « L’être humain se complait dans le laisser-aller, mais s’épanouit dans l’exigence de soi. C’est en étant vraiment concentré sur ce que l’on fait pour réussir la mise en œuvre de nos compétences, et en relevant chaque fois de nouveaux défis, que l’on se  sent heureux. C’est vrai pour tout le monde, quels que soient notre métier ou le niveau de nos compétences. Et notre bonheur est accru si notre travail apporte quelque chose aux autres, même indirectement, même de façon modeste. » (p. 138)

« Le défi stimule notre concentration, et que c’est lui qui nous pousse à donner le meilleur de nous-mêmes dans ce que nous faisons, et à en tirer une réelle satisfaction. C’est une condition pour nous épanouir dans nos actions. » (p. 141)

Et vous, l’avez-vous lu ? Aimez-vous ce genre de romans avec des petites morales ?
Mon amie m’a prêté, le second « Les dieux voyagent toujours incognito » en me promettant encore mieux que le premier. Je vous tiendrais au courant, mais il est plus gros alors ce ne sera pas tout de suite !

2 commentaires:

  1. Je l'ai acheté hier ce bouquin, j'en ai entendu beaucoup de bien!!

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  2. j'ai aimé aussi, j'aime en relire les extraits que tu cites. Livre de chevet, livre à messages à relire. Je te conseille "quatre petits bouts de pain" à lire absolument !

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