J’attendais avec une certaine
impatience de lire le dernier de Foenkinos (du moins le dernier sorti en format
poche), je l’attendais comme une gourmandise qui va nous faire saliver et
allumer les petites lumières du plaisir dans le cerveau…
J’avoue que je n’ai pas trouvé le gâteau au chocolat que
j’attendais. Mais c’est de ma faute ! Ce n’est pas parce que les premières
lignes des précédents romans de M. Foenkinos m’avaient immédiatement
transportée que celui-ci serait pareil.
Même si on retrouve le style habituel de l’auteur avec ses
petites notes de bas de page, l’histoire est beaucoup plus sérieuse et plus
grave.
« Les souvenirs » donnent
un ton de nostalgie, de bonheur manqué à l’histoire… Pour autant, l’histoire
justement est douce, tendre et juste.
J’ai été attendrie par la relation
entre la grand-mère et son petit fils. Mais j’ai moins été conquise par
l’histoire d’amour que connaîtra ce petit fils. Pourtant, les histoires d’amour
c’est plutôt la spécialité de David Foenkinos. Mais celle là est peut être trop
similaire à celle des autres romans, ou alors c’est parce qu’on devine la fin,
le déroulé avant que nos yeux aient parcouru toutes les pages du roman.